Synopsis Allociné :
Ray Breslin est un ingénieur spécialisé dans la conception de
prisons ultrasécurisées. Il teste lui-même l'efficacité de ses
bâtiments en se faisant enfermer puis en s'évadant. Contacté par
une société privée souhaitant tester un concept révolutionnaire
de prison hi-tech, il se retrouve prisonnier. Piégé dans ce
complexe ultra-moderne, harcelé par un directeur impitoyable et son
gardien corrompu, Ray découvre une conspiration pour le faire
disparaître à jamais. Sa seule chance de survie : une alliance
avec Emil Rottmayer, un co-détenu ayant lui aussi un secret. Pour
avoir une chance de s'évader, ils vont d'abord devoir se faire
confiance.
« Évasion »
aurait pu être un grand actioner movie il y a 20 ans plus tôt
et s'il avait été fagoté par un certain John McTiernan, ou du
moins par un réalisateur ambitieux et autrement plus impersonnel que
Mikael Hafström, auteur des médiocres « Dérapages »,
« Chambre 1408 » et « Le Rite ». Sauf que
« Prison Break » est passé depuis par là et
qu'« Évasion » apparaît purement comme une pâle copie
de la série créée en 2005 par Paul Scheuring, tant le scénariste
Miles Chapman semble avoir intégralement pompé la trame du TV
show carcéral. Car ce n'est pas seulement le plot
principal dont il s'agit – un ingénieur se fait volontairement
enfermé dans un pénitencier ultra-sécurisé avec un but précis –
mais aussi des intrigues secondaires (la conspiration
gouvernementale, le personnage mystérieux incarcéré et accusé
d'avoir caché un magot dans un endroit connu de lui seul à
l'extérieur), des personnages (le héros hypermnésique,
l'infirmière Sarah Wayne Callies est remplacé par le médecin Sam
Neill, Charles Westmoreland par Schwarzenegger, le flic ripoux), des
twists (la révélation sur l'identité du détenteur du
fameux butin évoqué plus haut) …
Passé
ces effroyables constations, « Évasion » reste un film
appréciable, à mater entre potes. En somme, un thriller à pitch
honnête, qu'on regarde sans bouder, voire même en prenant un
certain plaisir (l'affrontement dantesque entre nos deux ténors
musclés le temps d'une séquence, d'ailleurs trop courte, dommage),
réhaussé par une intrigue prenante, à défaut d'être originale,
quelques plans badass (Schwarzy qui tient une mitraillette
Gatling) et des punchlines tordantes (« You Hit Like A
Vegetarian »). Par contre, le bât blesse côté des bad
guys avec des Jim Caviezel & Vinnie Jones qui cabotinent
comme des porc, respectivement en directeur de prison sadique &
garde du corps bourrin, et un Vincent D'Onofrio absent.
Bilan :
Une série B au synopsis estimable, qui aurait certainement gagné en
spectateurs et en qualité si elle était sortie 20 ans plus tôt,
avec des youth versions de Stallone & Schwarzy, une baston
plus longue entre les deux et des moments encore plus jouissifs.
Anecdote :
À l'origine, Vinnie Jones devait jouer dans « Rambo IV »
avant que ce dernier ne prenne finalement une toute autre direction
scénaristique. C'est donc en toute logique que Stallone, fan de
l'ex-footballeur, lui a proposé un rôle dans « Évasion ».
La Bande Annonce d'Evasion:
NOTE: 5,5/10
Ils sont trop vieux, il font rire à leur insu dans leur bagarre tandis que le spitch est déjà vu... Bof... 1/4
RépondreSupprimerBof bof en effet
SupprimerCe thriller avec le duo Sylvester Stallone et Arnold Schwarzenegger est très divertissant. Je l’ai vu sur l’application film en streaming : https://play.google.com/store/apps/details?id=virgoplay.vod.playvod . La réalisation est impeccable.
RépondreSupprimerThere's shocking news in the sports betting industry.
RépondreSupprimerIt has been said that any bettor needs to see this,
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